vendredi, mars 24, 2006

La musique arabo-andalousse

Je suis allé au concert d'Akim El Sikameya, à Tata Theater, à mercredi. Quel concert! Ça me donna du baume au cœur et enchanta mon esprit.

Akim est né à Oran, en Algerie. La musique arabo-andalousse toujour fut une partie intégral de sa vie. C'était apparent quand il commenca à jouer de son violon à la manière maghrébine, l'instrument posé sur sa cuisse gauche comme s'il s'agissait d'un rebab en arabe, et chanter dans sa exceptionelle voix. Même son nom est un croisement de sika et meya, deux des noubas les plus interpretées de la musique arabo-andalouse.

Ni une personne, dans la salle de spectacle résonnante, resta indifferente, quand il fredonna, en voix tremblante sur l'Andalousie qui efface dans l'oublie.

Les autres musiciens étaient super aussi: Salim, Francis, Francis, Kevin et Augustin qui jouèrent guitare acoustique, guitare electrique, basse et batterie et percussions. Ils adaptèrent des noubas arabo-andalouses et les modernisèrent en les transformant en chansons. Nishi Doshi, gagnante au concour de chansons à l'Alliance, chanta aussi, pendant un petit moment, avec Akim.

Vers la fin, la musique se devint endiablé, et les spectateurs furent fougueux et délirants, en dansant et applaudissant au temps. Toutes mes felicitations à Akim qui, en deux heures, a réveiller en moi une extase, un attendrissement si rares de nos jours.

J'ai rencontré beaucoup d'amis d'Alliance, et mon prof aussi - ça me faisait plaisir. On rentra ensemble: Swati, ma rakhi-sœur, et mes amis Binay et Vivek: merci pour m'accompagner en préavis si court :-)

Une soirée tellement inoubliable!

2 Comments:

Blogger Usha said...

Merci WR,C'est une revue très bonne. J'espère pouvoir les entendre aussi.

6:23 AM  
Blogger Wild Reeds said...

Merci Usha...

12:08 PM  

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